25 - Reykjavik, comment vous dire... c'est une ville.

25 Juillet 2019

Un dernier p'tit déj islandais à l'hôtel, « un des meilleurs » d'après l'hôtesse, qui nous a même fait le cadeau d’un sourire !

L'avion est à 1 heure du matin, et l'aéroport international (Keflavik) est à cinquante kilomètres de la ville... pas envie de les faire à vélo le long de l'autoroute. On réserve le bus. Nous avons donc la journée pour faire un tour dans la capitale islandaise.

Nous n'avons pas de programme précis, ni envie de visiter des musées. Marcher sans but dans les rues commerçantes, entrer dans les boutiques et ressortir sans rien acheter, ça va un moment. Les boutiques se ressemblent toutes, les touristes aussi...Le moral est en baisse...

La ville en mode touriste, on n'est vraiment pas fan... surtout après 3 semaines de plein air.

Fuyons...


Dans un quartier de bureaux, plutôt tranquille en ce mois d'été, nous avons repéré « Kaffihús - bakari Jói Fel » (café-boulangerie Jói Fel). Mmmmhhh... bel endroit, appétissant, calme, bien tenu et pas trop cher : le moral remonte ! Et en plus on est bien reçu...

Après cette tranquille collation, nous préférons retourner flâner sur la promenade le long de la mer. Profiter, respirer encore un peu...

Le bus est à 17h30. Il faut garder du temps pour récupérer des cartons et préparer les vélos pour l'avion. On demande dans plusieurs boutiques, sans grand succès. On ne sent pas l'envie de rendre service... Finalement, c'est KFC qui se dévoue. Nos vélos seront donc emballés dans des cartons de frites surgelées. Merci KFC.

A l'aéroport, tout est prévu : il y a un petit local exprès pour le démontage / remontage des vélos. Mais d'abord, je dois faire un petit aller-retour au « Base Hotel », où nous étions le premier soir, pour récupérer les protections et emballages divers que nous y avons laissé.

Il nous faut encore 2 heures pour finaliser la protection des vélos, le ficelage des sacoches, etc...

Prendre l'avion avec des vélos est toujours un peu galère. Il n'y a pas de solution idéale : Les grosses valises ? Intransportable, trop lourd et trop encombrant. Les cartons spéciaux ? Nos vélos n'y rentrent qu'à condition de tout démonter... Alors on se débrouille comme on peut... Et on prie pour qu'il n'y ait pas de casse à l'arrivée.


     Les formalités sont accomplies. La fin d'un beau voyage... Snif !

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